6 Méthodes efficaces et pleines d’amour pour corriger vos enfants !

– Pose le verre

– Non !! 

– Pose-le ou tu vas le briser

– Non !

– Je vais me fâcher, POSE CE VERRE TOUT DE SUITE !!!

– Nonnnnnnn

Et… CRASH ! Le verre éclate en mille morceaux. Vous sentez la colère monter. Non seulement votre verre préféré est brisé, mais en plus, vous devez maintenant nettoyer tout ça. Et pour couronner le tout, vous paniquez en imaginant votre enfant de 5 ans pieds nus au milieu des débris…

Cela vous parle ? Qui n’a jamais vécu une scène de désobéissance, une crise en plein supermarché ou un refus catégorique d’obtempérer ?

En grandissant, les enfants testent les limites, cherchent à s’affirmer et explorent leur pouvoir de décision. Mais leur rôle n’est pas de fixer les règles : c’est à nous, parents, de les guider et de poser un cadre clair. Sans cela, comment pourraient-ils devenir des adultes responsables et équilibrés ?

C’est là qu’intervient la nécessité d’un recadrage adapté. Mais comment corriger efficacement sans entrer dans une escalade de tensions ?

Important : A ce propos, je vous recommande vivement  cet article : Commettez-vous cette erreur lorsque vos enfants dépassent les bornes ? qui vous permettra d’appliquer de façon efficace les méthodes évoquées ci-dessous et de mieux cerner les consignes générales à respecter avant d’y avoir recours.

Corriger ? Oui, mais dans quel cas ?

Fixer des règles claires avant d’intervenir

Avant de reprendre un enfant sur son comportement, il est essentiel qu’il sache précisément quelles sont les règles à suivre.

La famille, c’est un peu comme une petite société, avec ses propres lois et son fonctionnement. Pour que votre enfant comprenne ce qui est attendu de lui, il doit grandir avec des repères clairs. Il est donc important d’instaurer des règles précises et adaptées à son âge : « On ne monte pas sur la table », « On ne dit pas de gros mots », etc.

⚠️ Une règle floue est une règle inefficace ! Si elles changent en fonction de votre humeur ou de la présence d’invités, votre enfant aura du mal à s’y retrouver… et à les respecter.

Des repères clairs permettent à l’enfant de se structurer, comprendre les limites et grandir en sécurité. N’oubliez pas une chose : tout ce qui n’est pas interdit est perçu comme autorisé.

Et si la règle n’est pas respectée ?

Si une règle est transgressée, une conséquence négative doit s’en suivre. Sans cela, l’enfant risque de ressentir un sentiment d’impunité, qui l’incitera à recommencer.

📌 Une sanction doit être immédiate et adaptée
Les jeunes enfants ont du mal à se projeter dans le futur. Une punition décalée dans le temps, comme « pas de cinéma ce week-end », risque d’être inefficace. Privilégiez une correction directement liée à l’action et qui permet à l’enfant de comprendre pourquoi son comportement doit changer.

Qu’entend-on par « corriger » ?

Le mot corriger signifie modifier un comportement inapproprié pour le remplacer par une attitude plus adaptée.

Selon le Larousse, corriger, c’est « faire disparaître une erreur ou un défaut en rétablissant ce qui est exact, bon, correct ».
D’après Google, il s’agit de « ramener à la règle une personne qui s’en écarte ».

Autrement dit, corriger son enfant ne signifie pas le punir pour le punir, mais l’aider à comprendre ses erreurs et à adopter des comportements qui lui permettront de grandir en tant qu’individu responsable et respectueux.

La correction repose sur deux objectifs essentiels :
Éliminer progressivement les comportements inappropriés.
Transmettre des valeurs et des repères solides.

Corriger ne doit jamais être un exutoire émotionnel !
L’objectif n’est pas de se défouler sur son enfant ou de lui faire payer une faute, mais bien de l’accompagner vers une meilleure compréhension des règles et du vivre-ensemble. Une correction efficace se fait avec calme et discernement, dans un souci d’éducation et non de répression.

Il est important que le réservoir affectif de votre enfant soit plein

Avant même de chercher à corriger un comportement, votre enfant doit être sûr d’une chose : votre amour pour lui est inconditionnel.

Un enfant qui se sent aimé, compris et en sécurité sera bien plus réceptif aux règles et aux recadrages. À l’inverse, si son « réservoir affectif » est vide, une correction – même bien intentionnée – risque d’être perçue comme une attaque et de générer frustration, rejet ou colère. Je vous recommande à cet effet, cette vidéo : Un secret pour avoir des enfants bien dans leur peau

Correction et bienveillance ne sont pas opposées : l’une ne peut fonctionner sans l’autre.

Une approche structurée pour éviter les erreurs

Pour qu’un recadrage porte réellement ses fruits, il doit être appliqué de façon réfléchie et structurée. À ce sujet, cet article : 5 Etapes simples pour corriger vos enfants de manière constructive détaille les différentes étapes essentielles à suivre. Si ces principes ne sont pas respectés, votre enfant pourrait se sentir incompris, humilié ou développer un sentiment de révolte à votre égard.

6 méthodes correctives qui marchent

1. La réprimande : un recadrage verbal efficace et respectueux

La réprimande est un rappel à l’ordre verbal, une manière de faire prendre conscience à l’enfant de son écart de conduite sans le rabaisser ni l’humilier. Elle est particulièrement efficace chez un enfant consciencieux, qui se soucie de bien faire.

Salomon disait :

Un seul reproche fait plus d’effet sur un homme intelligent que cent coups de bâton sur un sot.(Proverbes 17:10)

Si votre enfant est déjà attentif aux règles et à vos attentes, un simple recadrage verbal peut suffire à corriger un comportement.

Comment procéder concrètement ?

1. Rappeler la règle et l’écart de conduite observé

Exemple : « On est bien d’accord qu’il ne faut pas manger dans la salle de bain ? On en avait déjà parlé, n’est-ce pas ? »

2. Décrire les faits sans exagération

« Je suis rentrée et j’ai vu des miettes de cake près du lavabo, avec l’emballage juste à côté de la poubelle. »

3. Exprimer votre ressenti et expliquer les conséquences

« J’aime que la maison soit propre, et ces miettes peuvent attirer des cafards ou des fourmis. Ce n’est pas agréable d’entrer dans une salle de bain en désordre. »

« Nous sommes quatre à la maison. Si tout le monde faisait pareil, la douche deviendrait un vrai bazar ! »

Faites une pause de quelques secondes après votre explication : cela permet à l’enfant d’intégrer ce que vous venez de dire et de réaliser son erreur.

4. Valoriser l’enfant et lui exprimer votre confiance

Après cette pause, rappelez-lui qu’il est capable de mieux faire et que vous lui faites confiance pour s’améliorer. Exemple :

« Je sais que tu peux faire mieux. Tu es un enfant qui sait respecter les règles, et je compte sur toi pour ne pas recommencer. »

Ce recadrage s’inspire de la méthode décrite dans « The New One Minute Manager » de Ken Blanchard et Spencer Johnson. Elle est couramment utilisée dans le monde du travail pour gérer les équipes avec fermeté et bienveillance.

Appliquée aux enfants, elle permet de corriger avec respect et de renforcer leur estime personnelle

2. L’isolement : un temps de réflexion limité

L’isolement est une méthode adaptée aux enfants à partir de 2/3 ans jusqu’à la pré-adolescence. Elle consiste à envoyer l’enfant au coin, dans sa chambre ou dans un espace isolé pour lui permettre de se calmer ou de prendre du recul sur son comportement.

Certains pensent que mettre un enfant à l’écart revient à le rejeter et à lui faire croire qu’il n’est pas aimé. Mais tout dépend de la manière dont cette méthode est appliquée. Un isolement court et bien encadré n’a rien à voir avec une mise à l’écart brutale et prolongée.

L’enfant ne doit pas être enfermé ou laissé seul trop longtemps, mais placé dans un endroit calme pour se ressaisir.

Un cadre strict pour éviter les dérives

L’isolement devient contre-productif lorsqu’il est mal appliqué. C’est pourquoi il doit être court et adapté à l’âge de l’enfant, avec une durée raisonnable :

  • 3 ans → 3 minutes
  • 4 ans → 4 minutes
  • 5 ans → 5 minutes, etc.

Un isolement trop long ou injustifié pourrait effectivement nuire à l’enfant, mais lorsqu’il est utilisé avec discernement, il lui apprend à respecter les règles et à mieux interagir avec les autres.

Pour être efficace, l’enfant doit être coupé de toute distraction :
✔ Pas de jouets.
✔ Pas de télévision ou d’écran.
✔ Pas d’environnement trop stimulant (par exemple, une fenêtre donnant sur un paysage captivant).

3. La privation : la suppression temporaire d’un privilège

La privation consiste à retirer temporairement à l’enfant un objet ou un privilège qui lui tient à cœur, dans le but de lui faire comprendre les conséquences de ses actes.

Ce qui peut être retiré… et ce qui ne doit pas l’être

La privation doit concerner un élément ludique et non essentiel au bien-être de l’enfant. Vous pouvez de lui enlever :
✔ Ses jeux vidéo, sa tablette ou son smartphone.
✔ Son ballon de basket ou son vélo.
✔ Une sortie ou un privilège particulier.

En revanche, certains éléments ne devraient pas être utilisés comme sanction :
L’école : le priver d’éducation n’a pas de sens.
L’alimentation : supprimer plusieurs repas est une punition excessive et inutile.

Une durée adaptée à la gravité de la faute et à l’âge de l’enfant

Comme pour l’isolement, la durée de la privation doit être proportionnée et raisonnable.

  • Pour un jeune enfant, quelques heures suffisent.
  • Pour un adolescent, cela peut aller jusqu’à plusieurs jours selon la gravité de l’acte.

Une approche particulièrement adaptée aux adolescents

La privation est souvent plus efficace avec les pré-adolescents et adolescents. Par exemple, si votre adolescent perd sa calculatrice par négligence, il peut être amené à utiliser son argent de poche pour la remplacer.

S’il s’agit d’un simple accident, il n’est pas nécessaire de le sanctionner. Mais s’il laisse traîner ses affaires régulièrement malgré vos rappels, cette conséquence peut l’aider à réaliser la valeur des choses et l’importance d’en prendre soin.

Un juste équilibre pour une correction efficace

La privation doit rester mesurée. Une punition trop longue ou disproportionnée peut générer frustration et ressentiment, sans pour autant corriger le comportement.

L’objectif n’est pas de punir pour punir, mais d’aider l’enfant à prendre conscience de ses actes et à apprendre à mieux gérer ses responsabilités.

4. La corvée : la responsabilisation par l’action

La corvée est une tâche non plaisante que l’enfant doit effectuer en réponse à un comportement inapproprié. Pour être efficace, elle doit être choisie avec soin et adaptée à l’âge de l’enfant.

Les tâches que vous pouvez lui assigner sont multiples : ranger le salon, faire le ménage et la vaisselle, nettoyer la cour, vider les poubelles…

Une tâche qui plaît à l’enfant ne peut pas être considérée comme une sanction. Si votre enfant aime passer du temps dans le jardin, lui demander d’arroser les plantes ne sera pas une corvée pour lui. Il est donc essentiel de choisir une activité qui lui demande un effort et qui lui permette de remettre en cause son comportement.

Un moyen efficace d’ancrer les règles

Quand nous étions petits, lorsqu’un élève bavardait en classe, il devait recopier plusieurs fois la phrase « Je ne bavarderai plus en classe ». Même si cette tâche était pénible, elle n’était pas imposée par malveillance, mais pour aider l’élève à intégrer la règle et à corriger son comportement.

5. Laisser l’enfant endosser les conséquences de ses actes 

Responsabiliser votre enfant revient à le mettre en face des conséquences de ses actes et à le laisser les assumer. Il est plus facile d’influer sur le comportement de votre enfant quand il sait exactement ce qui est attendu de lui et lorsqu’il est conscient des conséquences des comportements inappropriés.

Une jeune adolescente en classe de seconde n’aimait pas réviser ses cours et faire ses exercices. Son père voulant lui éviter un échec lui prit un répétiteur pour chacune de ses matières. Un jour, le père excédé par l’attitude de sa fille décida de se séparer de tous ces répétiteurs et demanda à sa fille de se débrouiller toute seule au risque de reprendre sa classe.

Savez-vous ce qui se passa ? A la surprise générale, la fille se mit au travail et obtint de très bons résultats sous le poids de la responsabilité : son destin lui avait été remis entre ses mains.

Responsabiliser un enfant revient aussi à lui offrir des options adaptées à son stade de développement. Ainsi, tandis qu’un enfant de 6 ans balayera la nourriture qu’il a volontairement jetée par terre, un enfant de deux ans apportera la pelle et participera au nettoyage.

NB : Attention ! Si les conséquences sont dangereuses (blessures avec un couteau, brûlures, traumatismes…) ou mettent la vie de l’enfant en jeu, il vaut mieux éviter de recourir à cette méthode .

6. Les punitions corporelles : un sujet controversé

Les punitions corporelles, comme les tapes ou les fessées, font l’objet de vifs débats et sont interdites dans plusieurs pays.
De nombreux pédiatres, psychologues et spécialistes de l’enfance s’opposent fermement à leur usage en mettant en avant les risques qu’elles comportent et leur potentiel impact négatif sur l’enfant. Leur condamnation repose en grande partie sur la nécessité de protéger les enfants contre toute forme de maltraitance, car il existe malheureusement des abus extrêmes, allant des violences physiques sévères aux sévices traumatisants.

Toutefois, ce rejet global des punitions corporelles pose une question : est-il justifié de mettre sur le même plan une tape mesurée et un acte de maltraitance ?

Une approche nuancée selon certains spécialistes

Si une majorité d’experts déconseillent ces méthodes, d’autres estiment qu’un usage modéré et encadré peut être efficace, à condition d’être utilisé avec discernement.

  • James Dobson, psychologue et auteur de « Dare to Discipline« , soutient l’idée que la fessée peut être un moyen de correction efficace lorsqu’elle est utilisée sans colère, de manière contrôlée et limitée dans le temps.
  • Fitzhugh Dodson, psychologue et auteur américain du bestseller « Tout se joue avant 6 ans« , considère que la fessée peut être un recours lorsque l’enfant persiste à désobéir malgré plusieurs avertissements.
  • Diana Baumrind, psychologue spécialiste des styles parentaux, soutient que lorsqu’elle est utilisée avec modération, par des parents équilibrés et bienveillants, elle n’entraîne pas d’effets négatifs notables.

Ce qui ressort de ces analyses, c’est que la punition corporelle ne doit pas être une réaction incontrôlée, ni une habitude. Elle doit être clairement différenciée d’un acte de violence physique, qui, lui, peut avoir des répercussions profondes sur l’enfant.

À quel âge ces punitions peuvent-elles envisagées ?

Selon James Dobson :
✔ Elles ne sont pas adaptées avant 15 mois, car l’enfant ne comprend pas encore bien les règles.
Elles sont rarement nécessaires avant 18 mois.
Elles devraient être de moins en moins utilisées après 6 ans et devenir exceptionnelles après 10 ans.

Faut-il y avoir recours ?

Le débat reste ouvert.

Ayant moi-même reçu des fessées durant mon enfance, je peux témoigner qu’elles ont contribué à me faire comprendre certaines limites essentielles. Je n’en ai gardé aucune rancœur, bien au contraire : mes parents appliquaient leurs sanctions de manière réfléchie. Ils respectaient en règle générale, les principes généraux décrits dans cet article que je vous recommande vivement : 5 étapes pour corriger de manière constructive . Avec du recul, je réalise que sans ces interventions ponctuelles, j’aurais pu adopter des comportements immatures ou irresponsables.

Paradoxalement, après une correction, je me sentais souvent plus proche de mes parents, car je savais qu’ils agissaient par amour et souci de mon éducation. C’est pourquoi réaffirmer l’amour inconditionnel après une sanction est une étape cruciale dans le processus.

Quelles que soient les convictions de chacun, il est essentiel que toute correction se fasse dans un cadre réfléchi, mesuré et toujours dans l’intérêt de l’enfant. Il ne s’agit ni de prôner un recours systématique aux punitions corporelles, ni de les condamner aveuglément sans nuance.

Un acte d’amour 

Corriger un enfant ne signifie pas le punir aveuglément, mais lui apprendre à distinguer le bien du mal, à assumer les conséquences de ses actes et à grandir avec des repères clairs. Chaque méthode a ses forces et ses limites et il est essentiel d’adapter votre approche en fonction de l’âge, du tempérament de votre enfant et de la situation.

Un recadrage efficace repose sur plusieurs principes fondamentaux :
Des règles claires et constantes, comprises par l’enfant.
Des sanctions proportionnelles aux fautes commises pour éviter tout sentiment d’injustice.
Un cadre affectueux, où l’enfant sait qu’il est aimé, même lorsqu’il est repris.

Il n’existe pas de recette universelle pour éduquer un enfant, mais une chose est sûre : autorité et bienveillance ne sont pas incompatibles. Fixer des limites fermes tout en valorisant l’enfant lui permet de développer son autonomie, sa responsabilité et son respect des autres.

Chaque parent fait de son mieux, en fonction de ses valeurs et de sa vision de l’éducation. Mais l’essentiel à retenir est que corriger un enfant, ce n’est pas le brimer, mais le préparer à devenir un adulte équilibré et respectueux.

Quelle que soit la méthode employée, gardez à l’esprit que la correction est avant tout un acte d’amour : elle vise à guider l’enfant, à lui transmettre des valeurs et à l’aider à devenir la meilleure version de lui-même.

Et vous, quelles méthodes utilisez-vous au quotidien pour corriger vos enfants et leur transmettre des repères solides ? Partagez votre expérience en commentaire !

📌 Si cet article vous a été utile, pensez à le partager avec d’autres parents qui pourraient en bénéficier !

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23 commentaires

      • Eeh quand je vous lire , je me rends compte que je suis toujours a gauche,mon fils Au début je faisais doucement avec parce que il a été toujours Turbulent mais très câlin mon pied sont pied, après mon entourage ont commencé a dire lui la c’est garçon soit dure avec lui sinon ,moi qui ne sais pas faire les choses a moitié j’ai commencé a bastonner l’enfant chaque foi qu’il fait un e bêtise je le frappe et comme il est câlin il veut revenir vers moi je le repousse. Et pourtant je sens en moi que c’est pas la bonne façon. Merci pour ses idées moi je vais l’éduquer pour apprendre de bonnes valeurs a mon fils il a 5 ans j’espère que je pourrais rattraper

  • merci pour vos conseilles DIEU vous bénisse et et vous inspire d’avantage. j’ai 3 filles mais j’ai ma cadette qui semble un peu plus difficile, qui gâte ce qu’on lui achète mais les effets scolaires et j’avoue que je ne sais pas comment l’amener à changer, des 3 elle est celle qui obéit difficilement. par moment quant je la puni (privé de friandises, les corvées, les fessées…) elle « s’en fiche » à la limite je me s’en désarmée elle a 8 ans merci. merci

    • Amen ! Merci Goré !
      La cadette est peut-être en situation de manque affectif…

  • Merci Madame pour vos conseils, j’utilise très souvent la réprimande et  »l’isolement.

  • Très bon article plein de conseils. Merci infiniment. Que Dieu insuffle plus en vous la sagesse et la maturité pour partager avec nous les astuces vitales pour l’éducation de nos enfants.

  • Merci beaucoup. J’adhère entièrement à tout ce qui est dit. J’utilisais un peu de tout mais beaucoup plus les reproches et fessés. Pour l’isolement je dépassais parfois le temps indiqué ici : je peux lui dire d’aller se coucher. Il s’en va se coucher , je peux même l’oublier et il s’en dors.

    • Hahaha ! mdr..
      Pour l’isolement, faudra pas oublier Esaya de mettre un chrono la prochaine fois 🙂

  • Merci pour toutes ces astuces.Je les utilise toutes mais j’avoue qu’ils sont hyper actifs et ne font que des bêtises..(2 garçons de 6 ans et 4 ans)

  • En fait ma mere avait comme methode de me fesser avec le Martinet à toute volée sur mes fesses et avec les lanieres en cuir du Martinet ,en éspérnant qu’elles me fassent mal et me fassent réflechir :mais étant un garçon de 15 ans à l’époque et dure de tete je l’avoue Ma mere avait déçidée de continuer de me donner le Martinet à toute volée sur mon popotin et je ne comprenais toujours pas ,meme lorsque j’allais chez ma grand mere ( donc la mere de ma mere)! La aussi elle ,lui avait aussi achetée un martinet pour me fesser avec ,bref le Martinet me suivait partout ! et en plus ma grand mere avait ordre que mes bretelles soient toujours bien tendues sous ma blouse en nylon et mon beret soient toujours mis aussi , En plus ma mere avait donnée l’ordre à ma grand mere de passer la tondeuse électrique sur ma tete et me la raser ;histiore de me faire réflechir ce qui était fait aussi !Bref meme avec ma tete rasée ,mes fessées au Martinet ,ma blouse en nylon,et mes bretelles super tendues je ne comprenais toujours pas ! aprés un moment j’étais meme fessé en public qui n’a rien arrangé car ces personnes disaient Bravio continuez car il n y a que comme ça qu’ils comprennent ce qui n’a pas arrangé la sausce!Meme à l’école ma mere avait donnée l’authorisation à la maitresse de me fesser avec le Martinet également ! Ce qui était fait et meque la maitresse me faisait mettre à genoux sur l’estrad avec un bonnet d’ane sur ma atete et mes mains sur la tete pendant 1 heure ,rien apparament n’y faisait ?! De ce fait ma mere m’a mis à l’école chez les bonnes seors ,qui pourtant avaient la réputation d’etre severes ,etqui elles aussi se servaient du martinet à tout bout de champ et nous rasaient nos tetes nousles garçons ;Bref c’est sur mon seulement en utilisant la canne en bambou sur mon popotin que la j’ai réalisé quil fallait que je m’asagisse q et comme ma mre et grand mere ont remarquées que les fessées à la canne en bambou me faisait de l’effet ellrs ont troquées leurs Martinets pourla ca,$nne eles aussi etla j’ai vraiment compris qu’ilfallair me calmer ! et aprs 2 ans et moi arivant à 17ans je me suis vraiment calmé et étant toijpours avec mon derriere marqué à sang et la qui me faisait si mal je me suis vraiment calmé Mais j’étais vraiment une forte tete etj’ai mis du temps à m’en rendre compte et à changer!
    !

  • Je suis tout à fait d’accord avec Mr saniez mark car en fait c’est comme ça que la plupart du temps que ça se passait,c’est à dire nos meres ne pouvant se passer de leurs Martinets nous étions souvent fessées moi et mes autres 3 soeurs avec le martinet à toute volée par maman souvent cul nus !et meme je me rapelle qu’on avait aprés une bonne féssée avec le Martinet ,on n’arrivait plus à s’assoir sur une chaise! Sans compter qu’on devait porter nos blouses en nylon et mettre des jupes en tergal grises plissées et avec de larges bretelles boutonées et le beret sur nos tetes: et jusqu’à nos 17 voir 18ans à l’époque ! bref en grande majorité çétait comme une éspece de mode car à ma conaissance pour la plupart des enfants à cette époque c’était comme ça , En fait une maman sans un bon Martinet ça aurait paru meme anormal dans notre région Nord-Pas de Calais ! !et c’est toujours dit avec justesse que nos mamans elles avaient l’embaras du choix pour s’en acheter des Martinets ,car beaucoup de commerçes en vendaient et en faisaient meme la réclame , « comme par exemple il y avait des écriteaux ventant les meritesd’avoir toujours un Martinet chez soi! et je me rapelle que j’ai meme vue à la meme époque un écriteau avec  » ayez toujours un bon martinet chez vous car votre enfant en aura besoin ,?! , et beaucoup de magasins en vendaient ,comme par exemple ,les magasins de jouets ,ou les cordonniers ,les merçeries,sans compter sur les marchés la il y avait dans notre région carrément des « marchands de Martinets d’installés sur les marchés également et qui eux pour en vendre avaient affiché  » le Martinet necessaire pour vos garçons et filles !Nhesitez pas à ce prix la !!!et ça a duré longtemps dans notre région J’ai meme vue que rien que dans un sondage publié sur internet la région Nord-Pas de Calais pendant les années « les trente gloeieuses  » il s’en vendaient 3 00 000 Martinets par an ?! x par 30 ans ça fait au bas mot9 0 000 000 de Matinets Incroyable !

  • Justement la question me fut posée par ma mere au courant de l’été 1978 ?!Faut-il que je continue de vous fesser avec le Martinet,toi et tes soeurs ?!Il faut dire que moi -meme javais atteins 17 ans et mes autres soeurs 15ans et 12 ans ,et ,nous étions toujours fessées « culs nus » avec le Martinet! Bref ma mere avait jugée que c’est ce qui nous convenait le mieux ,pour essayer de nous faire entrer du bon sens dans nos tetes,Ma mere continua je vous fesse non seulement içi à la maison mais chez votre grand mere et chez vos tantes aussi , et il m’arrive aussi que suis obligée de vous fesser avec meme dans la rue! Moi ça ne me gene pas ,mais vous ,ça vous plait ?! vous ne pouvez pas faire un effort et essayer de vous ameliorer?!elle continua ,moi je ne sens rien ,mais vous si çavous plait d’avoir vos fesses et vos popotins toujours « rouiges » aprés tout ça vous regarde ,et en attendant j’ai trouvée que Le Martinet c’est ce qui avait de mieux pour vous! C’était tellement vrai que le dimanche suivant nous sommes allées toutes les 4 faire une promenade e foret ,( en laissant toutes les 4 nos blouses en nylon ainsi que nos berets sur nos tetes! quand une de mes soeurs en a fait des siennes et que ma mere a du sortir le Martinet de la poche de sa blouse et elle lui en appliquée une dizaine de coups bien appuyés! sur son popotin  » blouse et jupe etslip relevés! Il faut dire que nous étions dans le Nord et  » ça marchait à coups de Martinets  » à cette époque Partout! Finalement il a fallu attendre nos 18 ans à chacune pour qu’enfin nous devenions raisonnables !

  • Merci Eunice , j’utilise souvent la réprimande, la corvée et les fessées , je vais y ajouter les autres pour qu’elle ne s’habitue pas à ces derniers.

  • Merci Eunice. Je m’envais lire l’article sur les 5 étapes

  • Merci Eunice. Pour avoir été battue (attachée mains et pieds liés, puis fouettée) à certaines périodes de mon enfance. j’ai du mal à corriger mes enfants. Je les réprimande, je crie mais la punition corporelle est rare….puis les quelques fois que je l’ai pratiquée, je me suis très mal sentie après. Mais j’apprends à traiter ces blessures personnelles et me dire que c’est important de corriger mes enfants, afin de faire d’eux de bon modèles dans la société… donc je prends très bonne note de vos conseils et vous remercie bien sincèrement.

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