6 Méthodes efficaces et pleines d’amour pour corriger vos enfants !

– Pose le verre

– Non !! 

– Pose-le ou tu vas le briser

– Non !

– Je vais me fâcher, POSE CE VERRE TOUT DE SUITE !!!

– Nonnnnnnn

Et crash !!!!! Le verre est en mille morceaux, et vous voilà en furie ! Non seulement votre verre préféré est cassé… Vous allez devoir vous faire le ménage et… la cerise sur le gâteau : vous craignez pour les pieds de votre « bout de chou » de 5 ans en plein milieu des tessons.

On a tous vécu une situation similaire : désobéissance, crise au supermarché, défi, refus d’obtempérer.

En grandissant nos enfants commencent à découvrir le monde et surtout à s’affirmer.

Il est indispensable de les canaliser et surtout de les recadrer lorsqu’ils dépassent les bornes. Autrement, il leur sera impossible d’être demain des adultes matures et responsables d’où la nécessité de la correction dans leur éducation.

A ce propos, je vous recommande vivement  cet article : Commettez-vous cette erreur lorsque vos enfants dépassent les bornes ? qui vous permettra d’appliquer de façon efficiente les méthodes évoquées ci-dessous et de mieux cerner les consignes générales à respecter avant d’y avoir recours.

Corriger ? Oui, mais dans quel cas ?

Avant de corriger vos enfants, fixez des règles claires

La famille est le premier maillon de socialisation des individus. Votre famille est comme un Etat en miniature avec ses lois. Ses règles et ses codes doivent être connus de vos enfants. Il est donc important qu’en tant que parent, vous fixiez des règles et des codes clairs que vous allez progressivement communiquer à vos enfants en fonction de leur âge et de leur maturité : on ne monte pas sur la table, on ne dit pas de gros mots, on ne tape pas ses parents, on a le droit de faire ceci et on n’a pas le droit de faire cela.

Vos règles ne doivent pas varier en fonction de votre humeur ou de vos visiteurs sinon vos enfants auront du mal à les comprendre et à les respecter.

Cette démarche est essentielle pour que votre enfant puisse se structurer, se « cadrer » et avoir des repères. Gardez en mémoire que tout ce qui n’est pas interdit est indirectement autorisé.

Puis en cas de non-respect de la règle, vous pourrez appliquer une sanction, car une sanction non appliquée fait naitre chez votre enfant, un sentiment d’impunité qui l’encourage à recommencer. Aussi, faites en sorte que la correction soit suffisamment dissuasive et prenne effet le jour même. Les plus petits, en particulier, ne maîtrisent pas tout à fait la notion de futur. Evitez donc des sanctions du type « pas de cinéma ce week-end » !

Que signifie « corriger » ?

Selon le dictionnaire Larousse, corriger c’est « faire disparaitre une erreur, un défaut, en rétablissant ce qui est exact, bon, correct ». 

D’après Google, corriger signifie également : « ramener à la règle, la personne qui s’en écarte. »

Dès lors, corriger son enfant revient donc à éradiquer en lui, dans la mesure du possible, un mauvais comportement afin de faire de lui une personne sociable et mature.

La correction est donc un ensemble de méthodes qui permettent :

  • D’éliminer les mauvais comportements et
  • D’inculquer des valeurs aux enfants.

La correction n’a pas pour objectif de vous faire évacuer votre colère, de vous venger contre votre enfant. Vous devez l’appliquer dans une totale maitrise de vos émotions pour le bien de votre enfant.

Il est important que le réservoir affectif de votre enfant soit plein

Pour que la correction soit efficace, il est très important que votre enfant se sente aimé de manière inconditionnelle. Je vous recommande à cet effet, cette vidéo : Un secret pour avoir des enfants bien dans leur peau, dans laquelle j’en parle. Si votre enfant ne se sent pas aimé de vous, la correction pourrait aggraver la situation.

Les personnes qui ont lu cet article également lu :  Joyeux 8 mars à toutes et à tous 🩵💛🧡 !

De plus, afin qu’elle soit constructive pour votre enfant, il est primordial qu’elle se fasse de manière méthodique. Je vous recommande d’ailleurs très vivement cet article : 5 Etapes simples pour corriger vos enfants de manière constructive dans lequel je vous explique les différentes étapes à suivre. Si vous les violez, votre enfant pourrait très bien se sentir rejeté, humilié ou éprouver de la colère envers vous.

6 méthodes correctives qui marchent

1. La réprimande 

Elle s’avérera très efficace chez un enfant consciencieux. « Un seul reproche fait plus d’effet sur un homme intelligent que cent coups de bâtons sur un sot » disait Salomon le Sage dans le livre des Proverbes. (Proverbes 17 :10)

Elle consiste tout simplement à gronder l’enfant, à le reprendre pour qu’il réalise sa gaffe. Vous pouvez le faire calmement, ou en haussant le ton. Le but est de signifier à votre bout de chou, votre mécontentement et de lui faire comprendre qu’il ne doit plus reproduire son acte.

Attention toutefois aux injures et aux gros mots ! Bannissez ces maux de votre vocabulaire même si vous êtes très en colère. Attention non plus à ne pas associer vos enfants à leurs actes. Il vaut mieux dire : « Tu m’as menti ! » ou « Ce n’est pas vrai »  plutôt que « Tu es un gros menteur ! »

2. L’isolement

Elle reste l’une des méthodes les plus utilisées et se traduit le plus souvent par des instructions comme : « Va au coin » « Va dans ta chambre » « A genoux ! ».

Quand vous isolez votre enfant, il doit être coupé de toute source de distraction : sa console de jeu, sa voiture préférée… Il ne doit pas avoir la télévision ou même la rue dans son champ de vision. Ce doit être un temps d’isolement et d’ennui pour lui ! Autrement ce ne serait pas une punition.

Ce temps doit toutefois être limité. Certains spécialistes recommandent une minute par année de vie. Si votre enfant a trois ans, vous l’isolerez trois minutes, s’il en a huit, vous l’isolerez huit minutes et ainsi de suite… Ce temps d’isolement permettra à votre enfant de se calmer et de réfléchir à ses actes.

Au passage si vous avez beaucoup de choses en tête, pensez à utiliser le minuteur de votre smartphone pour ne pas laisser votre enfant purger sa peine de longues heures durant…

Cette méthode est très simple à appliquer à partir de deux ans jusqu’au début de l’adolescence. Elle a le mérite de ne pas être violente.

3. La privation 

Voici une autre méthode intéressante. Elle consiste à priver votre enfant d’une chose à laquelle il tient. Assurez-vous toutefois que cette chose en question ne soit pas vitale pour lui. Elle doit plutôt être ludique : une balle de basket, une console de jeux, la télécommande…

Ne privez pas votre enfant de choses essentielles comme un repas. Ne privez pas non plus votre enfant d’un cadeau d’anniversaire (si vous avez l’habitude de lui en offrir, ce serait un peu dur, non ?) ou de ce qui peut l’instruire (un livre, aller à l’école…). Privez-le plutôt du superflu.

Tout comme l’isolement, vous devez limiter le temps de privation qui doit être fonction de l’âge de votre enfant. Car comme vous le savez, une correction inadaptée ne sert pas. Elle crée un sentiment d’injustice, de colère et de révolte. Votre temps de privation peut aller de quelques heures pour un enfant qui a 2 ans à plusieurs jours pour un adolescent. Cette méthode est particulièrement intéressante pour les adolescents. Vous pouvez les priver de sorties, de leur smartphone, de leur argent de poche pour une semaine, etc.

4. La corvée 

Elle reste aussi une méthode très efficace. Infligez des corvées à votre enfant tout en vous assurant qu’elles sont adaptées à son âge. Les tâches que vous pouvez l’obliger à accomplir sont multiples : ranger sa chambre, faire le ménage et la vaisselle, nettoyer la cour, vider les poubelles…

Je me souviens encore des corvées à l’école primaire : recopier plusieurs fois : « Je ne bavarderai plus en classe. » Quel calvaire ce fut ! L’avez-vous vécu aussi ? Assez dissuasif en effet !

Les personnes qui ont lu cet article également lu :  Commettez-vous cette erreur quand vos enfants dépassent les bornes ?

Vous êtes censé connaitre votre enfant et votre corvée devra être choisie en conséquence. Car si ce que vous considérez comme une corvée est un pur délice pour votre enfant, la correction s’avèrera inefficace. Faites donc le bon choix ! 

5. Laisser l’enfant endosser les conséquences de ses actes 

Responsabiliser votre enfant revient à le mettre en face des conséquences de ses actes et à le laisser les assumer. Il est plus facile d’influer sur le comportement de votre enfant quand il sait exactement ce qui est attendu de lui et lorsqu’il est conscient des conséquences de ses mauvais comportements.

Une jeune adolescente en classe de seconde n’aimait pas réviser ses cours et faire ses exercices. Son père voulant lui éviter un échec lui prit un répétiteur pour chacune de ses matières. Un jour, le père excédé par l’attitude de sa fille décida de se séparer de tous ces répétiteurs et demanda à sa fille de se débrouiller toute seule au risque de reprendre sa classe.

Savez-vous ce qui se passa ? A la surprise générale, la fille se mit au travail et obtint de très bons résultats sous le poids de la responsabilité : son destin lui avait été remis entre ses mains.

Responsabiliser un enfant revient aussi à lui offrir des options adaptées à son stade de développement. Ainsi, tandis qu’un enfant de 6 ans balayera la nourriture qu’il a volontairement jetée par terre, un enfant de deux ans apportera la pelle et participera au nettoyage.

NB : Attention ! Si les conséquences sont dangereuses (blessures avec un couteau, brulures, traumatismes…) ou mettent la vie de l’enfant en jeu, il vaut mieux éviter de recourir à cette méthode corrective.

6. La fessée ou les châtiments corporels

Cette méthode corrective est la plus controversée et est même interdite dans de plusieurs pays. Plusieurs pédiatres, psychologues, pédagogues ou psychanalystes la condamnent fermement à cause des abus commis par certains parents et des conséquences irréversibles qui en ont découlé pour plusieurs enfants. Bon nombre l’assimilent à de la maltraitance, à de la violence physique, à un traitement à inhumain et dégradant.

Et pourtant, à mon humble avis, une bonne fessée est un ultime moyen de rappeler à l’ordre un enfant multirécidiviste et qui dépasse les bornes, pourvu qu’elle ne soit pas transformée en sévices (la douleur qu’elle engendre doit s’estomper dans les minutes qui suivent sans laisser de dommages sur le corps de l’enfant.).

Le Dr Fitzhugh Dodson psychologue et auteur américain du bestseller mondial de l’éducation « Tout se joue avant 6 ans » la recommande :

« De nos jours, trop de mamans semblent avoir peur de fesser leurs enfants. Elles parlent et crient beaucoup, elles essaient de négocier avec l’enfant. C’est une faute énorme parce que cela ruine leur autorité en tant que parent. Ce qu’il faut faire, c’est dire à l’enfant une fois ou peut-être deux fois ce que vous voulez qu’il fasse ou cesse de faire. Alors, s’il refuse d’obéir et que vous êtes irritée, corrigez-le aussitôt».

Attention ! Il ne s’agit pas de blesser à sang ou d’insuffler des sévices physiques à l’enfant ! Il est aussi important de le préciser : les châtiments corporels ne sont pas du tout appropriés pour les adolescents.

J’ai personnellement été fessée à plusieurs reprise dans mon enfance et je suis très reconnaissante à mes parents de l’avoir fait pour me ramener à la raison. Sans leurs corrections, j’aurais pu m’égarer et devenir une personnes immature et irresponsable. Mes parents savaient me sanctionner dans les règles de l’art. Ils respectaient les 5 étapes pour corriger de manière constructive et je me sentais paradoxalement beaucoup plus proches d’eux, aimée et choyée après une bonne correction. C’est la raison pour laquelle, l’étape 4 reste cruciale dans le processus.

Vous avez désormais toutes les armes pour éduquer au mieux vos enfants. A vous de vous en servir ! Car, comme on le dit : « Si vous ne voulez pas que votre enfant vous fasse pleurer demain, faites-le pleurer aujourd’hui ».

Si vous avez aimé cet article, je vous invite à le partager et à me laisser en commentaire, la méthode que vous utilisez le plus souvent.

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17 commentaires

  • merci pour vos conseilles DIEU vous bénisse et et vous inspire d’avantage. j’ai 3 filles mais j’ai ma cadette qui semble un peu plus difficile, qui gâte ce qu’on lui achète mais les effets scolaires et j’avoue que je ne sais pas comment l’amener à changer, des 3 elle est celle qui obéit difficilement. par moment quant je la puni (privé de friandises, les corvées, les fessées…) elle « s’en fiche » à la limite je me s’en désarmée elle a 8 ans merci. merci

    • Amen ! Merci Goré !
      La cadette est peut-être en situation de manque affectif…

  • Merci Madame pour vos conseils, j’utilise très souvent la réprimande et  »l’isolement.

  • Très bon article plein de conseils. Merci infiniment. Que Dieu insuffle plus en vous la sagesse et la maturité pour partager avec nous les astuces vitales pour l’éducation de nos enfants.

  • Merci beaucoup. J’adhère entièrement à tout ce qui est dit. J’utilisais un peu de tout mais beaucoup plus les reproches et fessés. Pour l’isolement je dépassais parfois le temps indiqué ici : je peux lui dire d’aller se coucher. Il s’en va se coucher , je peux même l’oublier et il s’en dors.

    • Hahaha ! mdr..
      Pour l’isolement, faudra pas oublier Esaya de mettre un chrono la prochaine fois 🙂

  • Merci pour toutes ces astuces.Je les utilise toutes mais j’avoue qu’ils sont hyper actifs et ne font que des bêtises..(2 garçons de 6 ans et 4 ans)

  • En fait ma mere avait comme methode de me fesser avec le Martinet à toute volée sur mes fesses et avec les lanieres en cuir du Martinet ,en éspérnant qu’elles me fassent mal et me fassent réflechir :mais étant un garçon de 15 ans à l’époque et dure de tete je l’avoue Ma mere avait déçidée de continuer de me donner le Martinet à toute volée sur mon popotin et je ne comprenais toujours pas ,meme lorsque j’allais chez ma grand mere ( donc la mere de ma mere)! La aussi elle ,lui avait aussi achetée un martinet pour me fesser avec ,bref le Martinet me suivait partout ! et en plus ma grand mere avait ordre que mes bretelles soient toujours bien tendues sous ma blouse en nylon et mon beret soient toujours mis aussi , En plus ma mere avait donnée l’ordre à ma grand mere de passer la tondeuse électrique sur ma tete et me la raser ;histiore de me faire réflechir ce qui était fait aussi !Bref meme avec ma tete rasée ,mes fessées au Martinet ,ma blouse en nylon,et mes bretelles super tendues je ne comprenais toujours pas ! aprés un moment j’étais meme fessé en public qui n’a rien arrangé car ces personnes disaient Bravio continuez car il n y a que comme ça qu’ils comprennent ce qui n’a pas arrangé la sausce!Meme à l’école ma mere avait donnée l’authorisation à la maitresse de me fesser avec le Martinet également ! Ce qui était fait et meque la maitresse me faisait mettre à genoux sur l’estrad avec un bonnet d’ane sur ma atete et mes mains sur la tete pendant 1 heure ,rien apparament n’y faisait ?! De ce fait ma mere m’a mis à l’école chez les bonnes seors ,qui pourtant avaient la réputation d’etre severes ,etqui elles aussi se servaient du martinet à tout bout de champ et nous rasaient nos tetes nousles garçons ;Bref c’est sur mon seulement en utilisant la canne en bambou sur mon popotin que la j’ai réalisé quil fallait que je m’asagisse q et comme ma mre et grand mere ont remarquées que les fessées à la canne en bambou me faisait de l’effet ellrs ont troquées leurs Martinets pourla ca,$nne eles aussi etla j’ai vraiment compris qu’ilfallair me calmer ! et aprs 2 ans et moi arivant à 17ans je me suis vraiment calmé et étant toijpours avec mon derriere marqué à sang et la qui me faisait si mal je me suis vraiment calmé Mais j’étais vraiment une forte tete etj’ai mis du temps à m’en rendre compte et à changer!
    !

  • Je suis tout à fait d’accord avec Mr saniez mark car en fait c’est comme ça que la plupart du temps que ça se passait,c’est à dire nos meres ne pouvant se passer de leurs Martinets nous étions souvent fessées moi et mes autres 3 soeurs avec le martinet à toute volée par maman souvent cul nus !et meme je me rapelle qu’on avait aprés une bonne féssée avec le Martinet ,on n’arrivait plus à s’assoir sur une chaise! Sans compter qu’on devait porter nos blouses en nylon et mettre des jupes en tergal grises plissées et avec de larges bretelles boutonées et le beret sur nos tetes: et jusqu’à nos 17 voir 18ans à l’époque ! bref en grande majorité çétait comme une éspece de mode car à ma conaissance pour la plupart des enfants à cette époque c’était comme ça , En fait une maman sans un bon Martinet ça aurait paru meme anormal dans notre région Nord-Pas de Calais ! !et c’est toujours dit avec justesse que nos mamans elles avaient l’embaras du choix pour s’en acheter des Martinets ,car beaucoup de commerçes en vendaient et en faisaient meme la réclame , « comme par exemple il y avait des écriteaux ventant les meritesd’avoir toujours un Martinet chez soi! et je me rapelle que j’ai meme vue à la meme époque un écriteau avec  » ayez toujours un bon martinet chez vous car votre enfant en aura besoin ,?! , et beaucoup de magasins en vendaient ,comme par exemple ,les magasins de jouets ,ou les cordonniers ,les merçeries,sans compter sur les marchés la il y avait dans notre région carrément des « marchands de Martinets d’installés sur les marchés également et qui eux pour en vendre avaient affiché  » le Martinet necessaire pour vos garçons et filles !Nhesitez pas à ce prix la !!!et ça a duré longtemps dans notre région J’ai meme vue que rien que dans un sondage publié sur internet la région Nord-Pas de Calais pendant les années « les trente gloeieuses  » il s’en vendaient 3 00 000 Martinets par an ?! x par 30 ans ça fait au bas mot9 0 000 000 de Matinets Incroyable !

  • Justement la question me fut posée par ma mere au courant de l’été 1978 ?!Faut-il que je continue de vous fesser avec le Martinet,toi et tes soeurs ?!Il faut dire que moi -meme javais atteins 17 ans et mes autres soeurs 15ans et 12 ans ,et ,nous étions toujours fessées « culs nus » avec le Martinet! Bref ma mere avait jugée que c’est ce qui nous convenait le mieux ,pour essayer de nous faire entrer du bon sens dans nos tetes,Ma mere continua je vous fesse non seulement içi à la maison mais chez votre grand mere et chez vos tantes aussi , et il m’arrive aussi que suis obligée de vous fesser avec meme dans la rue! Moi ça ne me gene pas ,mais vous ,ça vous plait ?! vous ne pouvez pas faire un effort et essayer de vous ameliorer?!elle continua ,moi je ne sens rien ,mais vous si çavous plait d’avoir vos fesses et vos popotins toujours « rouiges » aprés tout ça vous regarde ,et en attendant j’ai trouvée que Le Martinet c’est ce qui avait de mieux pour vous! C’était tellement vrai que le dimanche suivant nous sommes allées toutes les 4 faire une promenade e foret ,( en laissant toutes les 4 nos blouses en nylon ainsi que nos berets sur nos tetes! quand une de mes soeurs en a fait des siennes et que ma mere a du sortir le Martinet de la poche de sa blouse et elle lui en appliquée une dizaine de coups bien appuyés! sur son popotin  » blouse et jupe etslip relevés! Il faut dire que nous étions dans le Nord et  » ça marchait à coups de Martinets  » à cette époque Partout! Finalement il a fallu attendre nos 18 ans à chacune pour qu’enfin nous devenions raisonnables !

  • Merci Eunice , j’utilise souvent la réprimande, la corvée et les fessées , je vais y ajouter les autres pour qu’elle ne s’habitue pas à ces derniers.

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