5 Raisons pour lesquelles certains enfants détestent l’école

« J’étais un enfant intelligent, mais je détestais l’école » disait un célèbre artiste.

Quelle est l’humeur de vos enfants les matins lorsqu’ils vont à l’école ? Sont-ils enjoués ? Pressés ? Stressés ? Tristes ? Inquiets ? Indifférents ?

Pendant que certains enfants parlent avec joie de leurs enseignants, de leurs camarades de classe et sont tout excités de rejoindre l’école, d’autres en revanche y vont à reculons. Les matins de classe pour ces derniers sont bien souvent une expérience pénible. Ils se mettent à pleurer dès leur réveil, à pleurer en s’apprêtant. Ils sont moroses devant leur petit déjeuner, trainent les pas sur le chemin de l’école et parfois même luttent avec leurs parents pour éviter d’en franchir le seuil. Bien souvent, ces derniers se font railler, traiter de paresseux, d’enfants gâtés, de pleurnicheurs…

Lorsqu’ils sont plus grands, même si bon nombre d’entre eux ne font plus de crises de larmes, l’on peut toutefois percevoir dans leur attitude tout sauf une grande motivation pour l’école. Bien au contraire, ils éprouvent un profond dépit qui se manifeste assez souvent par un énorme soulagement dès qu’il y a une grève, un véritable enchantement dès qu’un enseignant est indisponible pour cause de maladie ou autres, un bonheur indescriptible lorsque la période des vacances scolaires approche et parfois une joie étrange lorsqu’une maladie les cloue quelques jours à la maison.

Identifier les raisons pour traiter le mal

Il y a nécessairement une ou plusieurs raisons à toutes ces attitudes qu’aucun parent normalement constitué ne souhaiterait voir chez son enfant. Pour les connaitre, chaque parent concerné pourrait demander à son enfant : « Pourquoi n’aimes-tu pas l’école ? ».

A ce propos, je vous recommande l’article 2 questions à poser chaque jours à vos enfants pour connaitre les temps forts de leurs journées.

Pourtant, cette approche bien qu’évidente, n’est généralement pas toujours satisfaisante pour les raisons suivantes :

  • L’enfant en petite ou moyenne section n’a pas toujours la capacité d’exprimer de manière adéquate ce qu’il vit, pense ou ressent parce qu’il est toujours en phase d’apprentissage du langage.
  • S’il ne se sent pas en confiance, l’enfant plus âgé pourrait avoir peur d’être jugé ou blâmé pour les raisons qui font qu’il n’aime pas l’école.

Or, il est important pour tout parent de connaitre les causes de ce manque d’engouement en vue d’y remédier, car un enfant qui n’aime pas l’école, a moins de chance de réussir dans le système.

Dans cet article, je vous partage cinq raisons majeures pour lesquelles certains enfants n’apprécient pas l’école et je vous donne quelques pistes pour améliorer leur expérience.

 

 Raison 1 : Un personnel éducatif austère et peu encourageant

Chers parents, imaginez-vous devoir passer vos journées avec des personnes autoritaires, arborant un regard sévère, prêtes à vous humilier publiquement, à vous réprimander à la moindre erreur, à vous remonter les bretelles au moindre écart de conduite, à vous punir parfois injustement…

Des punitions parfois injustes

Votre voisin de classe chuchote pendant le cours. Le maitre se retourne du tableau et croit que c’est vous qui avez chuchoté. Vous essayez de vous expliquer, il vous enjoint de vous taire immédiatement et d’aller au coin.

Prenons un autre exemple. Le professeur contrôle les cahiers d’exercices. Vous vous rendez compte à l’instant que vous avez malheureusement oublié de ranger le vôtre dans votre sac après avoir terminé vos exercices. Vous voilà puni ! Bravo, vous venez de remporter un -2 pour le prochain devoir.

Comment vous sentirez-vous dans un tel environnement ? Serez-vous heureux de retrouver chaque matin le chemin de l’école ? Avouez que cela ne vous donne pas du tout envie. Mettez-vous à la place de votre enfant et devinez donc ce qu’il peut ressentir.

Au passage, petite parenthèse, je ne suis pas contre les punitions. Je crois qu’elles sont nécessaires dans l’éducation d’un enfant. Seulement, il faut les utiliser à bon escient pour qu’elles le construisent au lieu de détruire. A ce propos, je vous recommande cet article sur le sujet.

Des paroles rabaissantes

Imaginez qu’en plus de tout cela, votre enseignant vous rabâche de temps en temps que vous êtes nul, idiot, que vous ne comprenez jamais rien à ce qu’on vous explique à l’inverse de Hyacinthe et d’Aïda qui eux sont les plus intelligents de la classe.

Vous seriez en droit de vous demander qui sont donc les élèves les plus bêtes et si vous ne faites pas partie de ce lot de condamnés à rester à la traine.

Quelle attitude face à des enseignants peu encourageants ?

Si vos enfants se retrouvent avec des professeurs ou des enseignants stricts et peu encourageants, et que comme un hélicoptère vous volez à leur rescousse pour les défendre chaque fois, vous pourrez dans une certaine mesure les fragiliser.

Dans la vraie vie, il y a des personnes austères et peu encourageantes et il faut apprendre à composer avec. Vous pouvez donc expliquer à vos petits que le personnel éducatif n’est pas à la base censé être un ennemi, que la rigueur n’est en rien de la méchanceté, que les réprimandes ne sont généralement pas sans causes et qu’il arrive dans la vie certaines injustices à supporter (pas toutes quand même 😉)

Ainsi, pour éviter d’être réprimandé, conseillez à votre enfant de :

  • Respecter les règles établies au sein de l’école ;
  • Avoir une conduite exemplaire ;
  • Faire ses devoirs ;
  • Eviter d’oublier ses effets à la maison…

En outre, il vous faut expliquer à votre enfant que le chemin de l’apprentissage n’est pas sans difficulté, qu’il est normal de se tromper et que se faire réprimander pour une erreur n’est pas grave.

Les personnes qui ont lu cet article également lu :  Comment protéger ses enfants des abus ?

Si toutefois, le personnel éducatif fait preuve d’insultes, de violence et de rabais constants, cela peut être destructeur pour votre enfant. Allez échanger avec la direction de l’école et si la situation persiste, pensez à changer d’établissement scolaire.

Raison 2 : Des cours longs et ennuyeux 

 Pour en savoir plus sur les fourmis, qu’est-ce qui vous tenterait le plus :

  • Lire une encyclopédie sur le sujet ?
  • Dessiner des fourmis ?
  • Avoir des statistiques sur les fourmis ?
  • Apprendre des chansons sur les fourmis ?
  • Observer une fourmilière dans la nature ?
  • Collectionner des photos de fourmis ?
  • Regarder une vidéo sur les fourmis ?
  • Echanger avec un érudit sur le sujet ?

Comme vous pouvez le deviner, il existe plusieurs méthodes d’apprentissage.

Tout être humain nait naturellement curieux avec une grande soif d’apprendre. Il suffit d’observer les bébés pour le constater.

Des méthodes d’apprentissage ne convenant pas à tous les enfants

Selon les travaux d’Howard Gardner, psychologue américain, il existe 8 formes d’intelligences. Chaque type d’intelligence prédispose à certaines aptitudes naturelles, à certaines passions et à certains types de métiers. De plus, à chaque sorte d’intelligence correspondent des styles d’apprentissages différents qui facilitent l’assimilation de ce qui est enseigné. Pour en savoir plus sur les formes d’intelligences, cliquez ici.

Le problème est que la majorité des systèmes scolaires n’exploitent en grande majorité que deux de ces huit types d’intelligences : l’intelligence logico-mathématique et l’intelligence verbo-linguistique.

Les individus qui apprennent mieux autrement que par les chiffres, la logique et les lettres sont par conséquent lésés. Le risque qu’ils s’ennuient en classe, qu’ils se sentent inintelligents et qu’ils se retrouvent à la traine est élevé.

Des enseignants peu éloquents et des emplois du temps surchargés

Lorsqu’en plus de cela, l’enseignant n’est lui-même pas passionné par la discipline qu’il est censé enseigner et a du mal à la transmettre d’une manière simple, compréhensible et captivante, la donne se complique même pour les plus favorisés du système. S’il en est ainsi du bois vert, qu’en sera-t-il du bois sec ?

Par ailleurs, tout comme le fait de travailler est indispensable à l’épanouissement d’un adulte, le jeu est indispensable à l’épanouissement d’un enfant. Les emplois du temps parfois surchargés laissent peu de temps aux divertissements.

Comment aider un enfant qui s’ennuie à l’école ?

Dans un tel contexte, comme l’explique Robert Kiyozaki dans son ouvrage Rich Dad’s Rich Kid Smart Kid, il est d’une importance capitale pour chaque parent :

  • D’identifier très tôt le génie de son enfant ;
  • De l’encourager à le développer ;
  • De le protéger d’un système éducatif conçu pour un nombre restreint de formes d’intelligences ;
  • Et d’entretenir la flamme du goût de l’apprentissage inné en chaque être humain.

Comment ? En lui permettant de gagner en confiance en exerçant par exemple d’autres types d’activités en adéquation avec ses talents naturels : jouer d’un instrument de musique, pratiquer un sport, etc.

Si vous souhaitez cultiver la curiosité de vos enfants et développer leur goût pour l’apprentissage, je vous recommande d’ailleurs cette vidéo.

En outre, pour ne pas qu’il baisse les bras, il est important que votre enfant soit conscient qu’il ne fera pas forcément tout ce qu’il lui plaît dans sa vie. Il sera parfois amené à accomplir des travaux rébarbatifs mais nécessaires. Il est donc important qu’il apprenne à s’investir pleinement dans tout ce qu’il fait en donnant le meilleur de lui-même car tout ce qui mérite d’être fait, mérite d’être bien fait.

Raison 3 : Les intimidations et provocations des copains/copines d’école

Mon expérience sur le sujet

La classe du CE1 a été une année particulièrement difficile pour moi. Je changeais de ville, d’école et je me faisais menacer d’être bastonnée par l’une de mes copines de classe à chaque récré.

J’étais une fille sage et sans histoire parce que ma douce et aimable maman m’avait demandé d’avoir un comportement exemplaire et de ne pas me bagarrer à l’école.

Je ne sais malheureusement pas ce que j’avais fait de mal à cette fille et pourquoi elle tenait tant à en découdre avec moi. Quand j’y repense aujourd’hui, je réalise qu’elle était bien plus frêle que moi et que j’avais aussi mes chances de la mettre KO si combat il devait avoir.  Elle dégageait toutefois une telle assurance et faisait montre d’une telle tchatche que j’étais tétanisée, j’avais la gorge nouée et les yeux larmoyants dès qu’elle apparaissait.

Au final, elle ne m’a jamais frappée, mais ses menaces permanentes suffisaient pour me stresser et m’ôter l’envie de prendre chaque matin le chemin de l’école.

En classe de CE2, j’ai également changé d’école. Je me laissais marcher sur les pieds par bon nombre de copines et quand certaines amies m’interpellaient, je leur répondais avec une voix douce : « Maman m’a dit de ne pas me battre ».

La fin du supplice

En classe de CM1, j’en ai eu littéralement marre !!! Je ne me souviens plus exactement du déclic de ce ras-le-bol : peut-être le fait d’avoir remarqué que celles qui ont le plus de tchatche ne sont finalement pas forcément les plus fortes, peut-être le fait d’avoir observé certaines amies se défendre et s’attirer le respect des autres… Je ne saurai vous le dire. Je me souviens seulement avoir fermement décidé de ne plus me laisser faire.

Lorsque quelqu’un m’embêtait, je répondais, je tenais tête. A la surprise générale, face aux menaces et tentatives d’intimidations, je n’étais plus du tout la fille timorée. Je savais faire preuve de répartie et inspirer du respect aux autres. Curieusement, je ne me souviens plus avoir eu de bourreau après cette étape de ma vie.

Maman voulait que je sois une fille douce, sociable et aimable. Seulement, comme le dit Robert Kiyozaki dans son ouvrage Rich Dad’s Rich Kid Smart Kid, devant certaines situations, la douceur et l’amabilité ont leurs limites. Il faut pouvoir s’affirmer et s’attirer le respect des autres de manière adéquate.

Les personnes qui ont lu cet article également lu :  6 Méthodes efficaces et pleines d’amour pour corriger vos enfants !

Le Roi Salomon l’a très bien illustré dans le livre de proverbes à travers ces deux versets consécutifs et paraissant contradictoires :

« Ne réponds pas à l’insensé selon sa folie, de peur que tu ne lui ressembles toi-même. Réponds à l’insensé selon sa folie, afin qu’il ne se regarde pas comme sage ». Proverbes 26 : 4-6

Racket, bizutage, harcèlement, violence physique ou verbale : voici quelques maux qui sévissent en milieu scolaire.

Que faire si votre enfant est confronté à ce genre de pratiques néfastes ?

Il est difficile de donner une formule miracle qui marcherait dans tous les cas. Cependant sachez que si vous volez systématiquement au secours de votre petit en allant menacer ses pairs ou en allant vous plaindre à l’administration, vous le fragiliserez certainement.

  • Votre enfant doit apprendre s’affirmer sans pour autant devenir une personne agressive. Cela suppose qu’il ait confiance en lui et vous avez un grand rôle à jouer à ce niveau. Cela nécessite qu’en famille vous ne le brimiez la plupart du temps et que vous lui laissiez le soin de dire ce qu’il pense.
  • Votre enfant doit apprendre à se défendre, soit en faisant preuve de répartie face à ses provocateurs soit en les signalant à l’administration.
  • Enfin s’il n’y a pas de changement, intervenez, prenez l’affaire en main. Parlez-en aux autorités administratives de l’école, aux parents des agresseurs…

Si votre enfant est un adolescent et que la situation atteint des proportions inquiétantes, sachez que le bizutage et le harcèlement sont punis par la loi dans plusieurs pays, vous disposez donc également de recours légaux.

Raison 4 : Le stress des évaluations

Entre avoir une mauvaise note et voir un ouragan dévaster votre ville, que préférez-vous ?

Posez la question à un élève qui ne se sent pas prêt pour son contrôle, vous risquez d’être surpris par sa réponse.

En classe de terminale, nous devions avoir un devoir de géographie dans une période pendant laquelle nous avions un nombre pléthoriques d’exercices et de contrôles dans plusieurs autres matières. Je me sentais submergée et je ne souhaitais pas avoir une mauvaise note.

Dans la même période, des rumeurs circulaient à propos d’un ouragan, d’un cyclone ou une grosse tempête qui devait s’abattre sur la ville. La rumeur était inquiétante et j’avais prié de tout mon cœur pour que le Seigneur nous épargne cette catastrophe qui risquait de causer d’énormes dégâts matériels et humains. Les jours passaient, le devoir de géographie approchait, j’étais hyper stressée et je ne me sentais pas du tout prête. En discutant avec une amie, j’ai réalisé qu’elle aussi n’était pas prête et que le fameux ouragan était curieusement prévu le jour du devoir. Nous avons pensé à haute voix : « Oh ! Si seulement cet ouragan pouvait nous délivrer de ce fameux devoir que personne n’a envie de faire… »

Vous savez quoi ? L’ouragan ne s’est pas produit et le devoir a bel et bien eu lieu. Aujourd’hui, je ne me souviens plus de ma note, je me souviens juste du stress que j’ai éprouvé.

Comment atténuer le stress des évaluations ?

C’est bien connu, la plupart des élèves sont généralement stressés par les évaluations. Cela s’explique par la pression qu’ils se mettent eux-mêmes, par la pression exercée par les enseignants ou par celle des parents. Il n’est agréable pour personne d’avoir de mauvaises notes en évaluation.

A l’approche des concours et examens, il n’est pas rare de voir certains élèves être surmenés ou piquer des crises d’angoisses.

Un remède au stress est une bonne préparation. Pour éviter que votre enfant stresse à l’approche des évaluations, recommandez-lui d’éviter d’attendre la dernière minute et de réviser régulièrement.

Raison 5 : Le déboussolement

La rentrée des maternelles

Avez-vous déjà assisté à une rentrée des classes des maternelles ?

Un véritable concert de pleurs : « Maman… Ouinnn… Ouinnn… », « Je veux aller chez maman… »

Eh oui ! Que serait le monde sans les mamans 😉 ?

Faire sa première rentrée scolaire ou changer d’environnement peut être une expérience déstabilisante pour un enfant. Absence de repères, de visages familiers, d’amis, méconnaissance des règles : voici autant d’ingrédients pouvant pour ôter à un enfant toute envie d’aller à l’école.

Comment atténuer le stress lié à un changement d’environnement ?

Pour atténuer ce stress lié au changement, vous pouvez :

  • Faire visiter les lieux à votre enfant avant la rentrée et lui expliquer le fonctionnement de l’école
  • Trouver un ainé, une sorte de parrain qui l’aidera à trouver ses repères.
  • Faire comprendre à votre enfant, qu’il est normal d’être déboussolé dans un nouvel environnement les premiers jours. A ce propos, vous pouvez lui raconter une de vos expériences en rapport avec un changement d’environnement afin de l’encourager.
  • Exhorter votre enfant à aller vers les autres et à se faire de nouveaux amis.

Pour finir

L’école n’est certes pas facile, pas parfaite mais que seraient nos enfants si elle n’existait pas ? Chaque parent serait-il en capacité d’instruire ses enfants à la maison ? Chaque parent serait-il capable de faire preuve de cette patience, de cette douceur, de cette rigueur, de ce professionnalisme tant attendus de la part du personnel éducatif ? Pas si sûr !

Et puis chers parents, avouons que nos enfants ne sont pas toujours faciles à vivre ! Beaucoup d’entre nous s’énervent rien qu’en révisant occasionnellement quelques minutes avec leurs enfants. Les périodes de confinement ont d’ailleurs permis à bon nombre d’entre nous de reconnaître et de saluer la patience du personnel éducatif qui est très souvent mise à rude épreuve par nos petits.

Même si aujourd’hui, l’on assiste au développement de pédagogies alternatives (Montessori, etc.) qui elles aussi restent dans une certaine mesure perfectibles et assez couteuses, en attendant que des évolutions significatives se produisent à plus grande échelle, chers papas et chères mamans, nous avons quelques billes pour améliorer l’expérience de nos enfants et les amener à tirer le meilleur parti du système.

Connaissez-vous d’autres raisons pour lesquelles certains enfants détestent l’école ? Laissez-les moi en commentaires.

Si vous avez aimé l’article, n’hésitez pas à le partager.

 

 

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14 commentaires

  • Bonjour, Eunice.
    Merci pour cet article. Bien qu’un tout petit peu long, il est vraiment riche en conseils très pratique. Impatient de faire partie de vos futurs abonnés.
    Merci et à bientôt.
    Merci d’exister !

    • Merci Nicolas, désolée pour la longueur ! J’étais inspirée lol 🙂

  • Merci beaucoup. J’apprends beaucoup de vous. Allez de l’avant!!!!💪

    • Vraiment très intéressant,
      Concernant la construction de la personnalité j’ai ma fille elle avait 6 ans quand nous aménagions dans un nouveau quartier. Quelques temps après ma voisine me fait savoir qu’une petite tenterait d’initier ma fille à la sorcellerie. Sa sœur et elle on prie peur. Je leur ai dit que si cela était vrai vrai elle n’avait pas à avoir peur qu’elles ont Jésus avec elles et que c’est l’autre qui devrait avoir peur de vous. La plus grande à préféré éviter la fille. Cependant la petite en à fait son affaire. Toutefois qu’elle croise la fille non seulement elle lui interdit de la regarder ou de faire demi-tour. Ensuite elle prononce: toute arme forgée contre moi sera nulle et sans effet.
      Pour dire que dès la petite enfance nous devons aider nos enfants à apprendre à ce défendre, leur faire savoir que la vie est faite de difficultés, de combats.

  • bonjour Eunice j’ espère que vous allez très bien, quand j’étais enfant j’aimais bien l’école. j’ ai trois enfants deux filles et un garçon , le garçon et la fille vont à l’ecole en classe de CM1 et CP2. la fillette est beaucoup ouverte mais le garçon est timide et renfermé !

  • Bonjour Eunice, j’ai beaucoup appris au travers de cette lecture; surtout la partie concernant la défense de l’enfant; ce n’est pas évident pour un chrétien quand nous lisons dans la bible que si on te gifle , tu dois tendre l’autre joue. Comment donc dire à son enfant martyrisé à l’école de rendre coup pour coup?

    • Coucou Pamela,
      Excellente question ! 😉
      Il ne s’agit pas de rendre le coup, il s’agit de savoir s’affirmer sans devenir pour autant quelqu’un d’agressif.
      J’avoue que l’équilibre n’est pas facile à trouver et qu’il est difficile de donner une réponse générique.

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